New Learning MOOC’s Updates
Didactic Education: The Modern Past
Didactic pedagogy is relatively old, with roots as old as writing. However, it came to near-universal prominence as a mode of learning in the mass, institutionalized education that emerged almost everywhere in the world in the 19th and 20th centuries. The experience of didactic education is still common today, for a variety of social, cultural and, at times, practical reasons. Mass, institutionalized education allows parents to work while schools take care of children, imparting the basics of reading and writing. Perhaps more importantly, however, didactic teaching inculcates in children a sense of discipline and order. It has teachers and textbooks telling, learners absorbing what they are told, and when it comes to the test, students getting their lessons right or wrong. In the didactic classroom, the teacher establishes a pattern of relationships in which students learn to accept received facts and moral truths, comply with commands issued by the teacher and absorb the authoritative knowledge presented in the curriculum. In these classroom settings, students learn to get used to a balance of agency in which they are relatively powerless to make knowledge themselves or to act autonomously.
Video Mini-Lectures
Supporting Material
- Winston Churchill’s School Days
- Yan Pho Lee’s School Days
- George Orwell’s School Days
- Maintaining Classroom Discipline
- Charles Darwin’s School Days
- Charles Dickens Introduces Mr. Gradgrind
- Audre Lorde’s School Days
- Mahatma Gandhi’s School Days
- 13 Times 7 is 28
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Make an Update: Parse an example of didactic pedagogy today. When is it appropriate? When is it anachronistic?
This anecdote from Gandhi's schooldays is important for a number of reasons, one of which is that it illustrates his deep-rooted devotion to honesty and integrity from an early age. Despite the pressure to conform and the subtle encouragement from his teacher to cheat, Gandhi refused to compromise his principles, even at the cost of being the only student to fail the test. This moment foreshadows the moral strength and unwavering commitment to truth (Satyagraha) that would later define his leadership in India's independence movement.
Additionally, his respect for authority despite recognizing its flaws is fascinating. Even after realizing his teacher’s shortcomings, Gandhi did not allow this to diminish his regard for him, demonstrating an early understanding of separating a person’s role from their imperfections.
Title: Reflecting on the Role of Didactic Education in Modern Learning
Didactic education has been a cornerstone of institutionalized learning, shaping not just knowledge acquisition but also societal values like discipline and compliance. As the course material highlights, this system of teaching—rooted in authority and structured curriculum—was designed to meet the needs of industrialized societies in the 19th and 20th centuries.
One striking example of this can be seen in Charles Dickens’ introduction of Mr. Gradgrind, a character who epitomizes the rigid didactic approach to education. His emphasis on facts, facts, facts reflects a system where students are expected to absorb and regurgitate knowledge rather than engage in critical or creative thinking. While this method ensured uniformity and order, it often stifled individuality and curiosity.
Even today, traces of this approach remain in modern classrooms. Standardized testing and teacher-centered instruction are often seen as practical necessities, yet they limit students’ ability to take ownership of their learning. The challenge lies in balancing the discipline and structure of didactic education with the flexibility and agency required for 21st-century skills like problem-solving and innovation.
What do you think? Can didactic methods be adapted to meet modern educational goals, or should we move entirely toward more participatory and student-centered models?
Ce module met en lumière les fondements et les limites de la pédagogie didactique, qui, bien que profondément ancrée dans l'histoire de l'éducation, montre aujourd'hui des signes de rigidité face aux exigences du monde moderne. Il est indéniable que ce modèle a joué un rôle clé dans l'éducation de masse en structurant les apprentissages de manière uniforme et en inculquant discipline et ordre. Toutefois, ce même système montre des failles importantes, notamment en limitant la capacité des élèves à développer leur créativité, leur esprit critique et leur autonomie.
L’idée que les élèves doivent « accepter des faits reçus » sans réelle opportunité de questionnement ou de participation active reflète une approche souvent unilatérale de la transmission des savoirs. Dans un monde où l’innovation et l’adaptabilité sont devenues des compétences essentielles, cette méthode risque de produire des apprenants peu préparés à relever les défis de la société contemporaine. En outre, le fait que les élèves soient « relativement impuissants à créer eux-mêmes des connaissances » soulève une problématique cruciale : comment transformer l’éducation pour qu’elle permette à chacun de devenir acteur de son apprentissage et, par extension, de sa vie professionnelle et personnelle ?
Il est peut-être temps de compléter, voire de remplacer, cette pédagogie par des approches plus inclusives et participatives, telles que l’apprentissage par projet, les pédagogies actives ou encore des méthodes axées sur la collaboration et l’intelligence collective, comme celle proposée dans l’Apprentissage 3.0. Ces nouvelles approches encouragent non seulement la compréhension des connaissances, mais aussi leur création et leur mise en application dans des contextes réels.
Ainsi, plutôt que de percevoir la pédagogie didactique comme obsolète, il est judicieux de la considérer comme un socle à adapter et à enrichir, pour mieux répondre aux besoins de la société d'aujourd'hui et de demain. Quels seraient, selon vous, les leviers les plus efficaces pour engager cette transition vers une éducation plus participative et transformative ?
Enseignement efficace selon Barak Rosenshine
Le modèle d'enseignement explicite de Rosenshine est largement reconnu. Il définit une approche structurée pour favoriser un apprentissage progressif et efficace, et guider les enseignants dans leur pratique considérable tout en restant flexible. Ce modèle représente une référence solide pour combiner pédagogie et didactique. Il repose sur une didactique rigoureuse (l'organisation des contenus disciplinaires) permettant le développement des savoirs solides et automatisés des apprenants.
Il s’adresse notamment aux jeunes apprenants, à tous ceux qui apprennent lentement, quel que soit leur âge, aux apprenants au fort potentiel intellectuel mais également à des élèves de milieux défavorisés [1]. De plus, il comporte une série de principes pédagogiques pour un enseignement efficace [2]:
- Commencer une leçon par un rappel des apprentissages antérieurs. Par exemple, l'enseignant demande aux apprenants d’expliquer ce qu’ils ont appris. Ce rappel peut les aider à renforcer les liens entre les notions apprises.
- Poser des questions fréquentes et vérifier la compréhension. Les questions permettent à l’enseignant de s’assurer que les nouvelles notions ont été bien saisis ou s’il est nécessaire de revenir sur certains contenus.
- Fournir aux apprenants des modèles ou des exemples d'exercices pour les aider à apprendre comment résoudre des problèmes. Par exemple, un enseignant présente un cas pratique pour illustrer les méthodes de conception de la base de données.
- Guider le travail des apprenants. Par exemple, lors d’une séance de travaux pratiques en programmation, l’enseignant accompagne les étudiants pour créer des applications et résoudre des erreurs de compilation afin de pouvoir d’améliorer leurs compétences et développer des savoirs solides et automatisés
- Soutenir un apprentissage distribué dans le temps. Par exemple, un enseignant demande aux étudiants de créer des projets à long terme. Cela améliore leur rétention à long terme et leur permet de traiter et appliquer progressivement les notions enseignées.
Ces principes proviennent d’une synthèse approfondie basés sur des recherches, ainsi que des démarches pédagogiques applicables en classe. Ils permettent de favoriser un apprentissage efficace et progressif permettant aux apprenants d’exploiter pleinement leur potentiel.
Enseignement efficace selon Barak Rosenshine
Le modèle d'enseignement explicite de Rosenshine est largement reconnu. Il définit une approche structurée pour favoriser un apprentissage progressif et efficace, et guider les enseignants dans leur pratique considérable tout en restant flexible. Ce modèle représente une référence solide pour combiner pédagogie et didactique. Il repose sur une didactique rigoureuse (l'organisation des contenus disciplinaires) permettant le développement des savoirs solides et automatisés des apprenants.
Il s’adresse notamment aux jeunes apprenants, à tous ceux qui apprennent lentement, quel que soit leur âge, aux apprenants au fort potentiel intellectuel mais également à des élèves de milieux défavorisés [1]. De plus, il comporte une série de principes pédagogiques pour un enseignement efficace [2]:
- Commencer une leçon par un rappel des apprentissages antérieurs. Par exemple, l'enseignant demande aux apprenants d’expliquer ce qu’ils ont appris. Ce rappel peut les aider à renforcer les liens entre les notions apprises.
- Poser des questions fréquentes et vérifier la compréhension. Les questions permettent à l’enseignant de s’assurer que les nouvelles notions ont été bien saisis ou s’il est nécessaire de revenir sur certains contenus.
- Fournir aux apprenants des modèles ou des exemples d'exercices pour les aider à apprendre comment résoudre des problèmes. Par exemple, un enseignant présente un cas pratique pour illustrer les méthodes de conception de la base de données.
- Guider le travail des apprenants. Par exemple, lors d’une séance de travaux pratiques en programmation, l’enseignant accompagne les étudiants pour créer des applications et résoudre des erreurs de compilation afin de pouvoir d’améliorer leurs compétences et développer des savoirs solides et automatisés
- Soutenir un apprentissage distribué dans le temps. Par exemple, un enseignant demande aux étudiants de créer des projets à long terme. Cela améliore leur rétention à long terme et leur permet de traiter et appliquer progressivement les notions enseignées.
Ces principes proviennent d’une synthèse approfondie basés sur des recherches, ainsi que des démarches pédagogiques applicables en classe. Ils permettent de favoriser un apprentissage efficace et progressif permettant aux apprenants d’exploiter pleinement leur potentiel.
Comment:
The overview of didactic education here really captures the essence of traditional, teacher-centered learning. It’s intriguing how this model prioritizes structured instruction and discipline, emphasizing the teacher’s authority in delivering knowledge. However, it also raises questions about how students are shaped when their autonomy is limited. The balance between imparting facts and fostering critical thinking is critical in today’s evolving educational landscape.
Update:
Reflecting on didactic education, it’s interesting to consider how it has influenced modern classroom dynamics. A contemporary example of this can be seen in standardized testing, where students are often assessed based on their ability to recall and apply factual information rather than engage in independent analysis. While this approach ensures consistency, it can also restrict creativity and critical thinking—key skills needed in our information-rich society.
A concept that stands out from this text is the concept of learner agency. It focuses on empowering students to control their own learning process. This change not only increases participation. But it also instills important skills for the future.
As a learner and a person involved in education I have experienced a shift towards technology-driven and data-centric learning, for example tools like Excel and Python have become an essential part of the curriculum. Not only in traditional STEM fields, but also in the social sciences and humanities. It is a shift from passive learning to more interactive, hands-on learning. Where students are tasked with analyzing real-world data and drawing their own conclusions...
One specific change I noticed was the use of simulations and virtual data sets in place of textbooks, for example, instead of reading about crime trends in sociology class. Students are given a dataset to analyze and expected to present insights. This approach helps develop critical thinking and practical skills at the same time, making education more interesting and applicable in real situations.
I believe certain subjects, like math, benefit from this approach. Traditional teaching methods are not inherently bad. In fact, they can provide the structure and clarity needed for foundational learning. However, it is essential that we also nurture a genuine love of learning in our students, regardless of whether we use boring lectures or adopt the more modern strategies of teaching era 2.0. The key is finding a balance that combines effective instruction with fostering curiosity and engagement.
It's crazy to see how old this form of education is, and, at least in my experience, how little it has changed. I understand the point about it's value in learning some topics, like quantum physics, instead of re-inventing the wheel, but I wonder how much research fits in here. You may not need to re-invent the wheel, but you could explore existing knowledge yourself, to see what different conclusions you may draw vs. other students and even your teacher, which may allow for a more engaging dialogue, and awareness of the possibilty of multiple theories